Cyber Security Management, acte II
Après un exercice 2018 particulièrement dynamique, Cyber Security Management s’apprête à présenter son catalogue de services. Une extension somme toute naturelle.
Le 17 janvier dernier, Cyber Security Management recevait l’award du projet européen de l’année de Wallix, spécialiste du PAM (Privileged Access Management). Une récompense qui a valeur de symbole, démontrant l’envol du spécialiste belge de la cybersécurité. Le projet récompensé est évalué à 2 millions EUR. Il en suit d’autres, notamment dans les institutions européennes dans le domaine de la sécurisation des e-mails.
L’exercice 2018 a été excellent. Cyber Security Management a emporté plusieurs projets majeurs dans divers secteurs : enseignement universitaire, transports publics, grande distribution, énergie… Partout, une même tendance : une demande de plus en plus soutenue en matière d’IAM (Identity & Access Management) et de PAM (Privileged Access Management).
Entretemps, l’entreprise de Waterloo est devenue le promoteur pour la zone BeLux d’HEXATRUST, le groupement européen fort d’une cinquantaine d’organisations membres, principalement des éditeurs et experts de solutions innovantes de cybersécurité et de prestataires de cloud de confiance. Mission : non seulement sensibiliser les particuliers, les TPE/PME et les grandes entreprises ou organisations sur ce qu’est une menace numérique et sur les bonnes pratiques pour en empêcher la propagation, mais aussi permettre à ses membres -notamment les start-up- de bénéficier d’une meilleure capacité de vente à l’étranger et de répondre à des cahiers de charges ensemble, sachant que la plupart des solutions du portfolio sont complémentaires et s’enrichissent. «De toute évidence, la cybersécurité est devenue une affaire d’écosystème et de confiance», estime Peter Braem, CEO, Cyber Security Management.
Des produits, mais pas seulement. Pour l’exercice en cours, Cyber Security Management s’apprêt à lancer un catalogue de services de cybersécurité. Et, ce faisant, de proposer une approche systémique de la cybersécurité, combinant les services d’évaluation, de conseil, d’architecture et le déploiement des solutions, des capacités de surveillance, de l’analyse et de l’atténuation aux services d’assainissement.
Cette étape majeure -présentée par Peter Braem comme «une évolution naturelle»– se construira sur base de la nouvelle structure de l’entreprise -laquelle, d’ailleurs, vient d’accueillir trois personnalités du monde ICT belge… L’acte II s’écrira cette année, assure Peter Braem, qui envisage par ailleurs une levée de fonds. A suivre. Et de près.