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Sortir les endpoints du brouillard
Un manque évident de visibilité. Mais comment en sortir ? Adaptiva avance quelques pistes. Ce n’est plus seulement une question de sécurité, mais aussi de productivité.
Davantage de visibilité sur les endpoints. Le besoin est connu… Et si celui-ci ne suffisait plus ? C’est ce qu’Adaptiva avance à l’issue d’une étude menée par le Ponemon Institute. 63 % des 629 professionnels interrogés estiment que le manque de visibilité sur tous les endpoints constitue l’obstacle le plus important à la mise en place d’une solide posture de sécurité. De fait, seulement 39 % des sondés estiment que leur organisation est efficace ou très efficace en matière de prévention et de détection des attaques au niveau des terminaux.
Certes, mais il faut aller plus loin, soutient Adaptiva. « Il ne suffit plus d’obtenir une véritable visibilité en temps réel sur les endpoints, encore faut-il être en mesure de fournir immédiatement du contenu critique pour corriger les vulnérabilités des terminaux, les erreurs de configuration et les systèmes de correctifs. »
Deux entreprises sur trois ont subi des menaces
Nos organisations se trouvent au milieu d’un paysage de menaces croissant qui se heurte à un grave manque de confiance. 66 % ont subi une augmentation des menaces sur leurs terminaux au cours de l’année écoulée, indique le Ponemon Institute.
La gestion des terminaux pour supprimer les vulnérabilités et le maintien de la conformité et des systèmes de correctifs représentent la meilleure ligne de défense pour aider les organisations à tenir les attaques à distance. Cependant, 79 % des correctifs critiques continuent de prendre plus d’une journée pour être déployés. Un tiers prend plus d’une semaine. Étonnamment, 29 % des entreprises affirment que leur plus grand défi est l’absence de visibilité sur leur sécurité globale, alors que de nombreux fournisseurs promettent une visibilité en temps réel sur les terminaux. Et lorsque les attaques réussissent, 37 % déclarent que leurs temps de réponse aux incidents sont insuffisants, tandis que 28 % déclarent qu’ils manquent totalement de capacités de détection et de réponse.
Endpoints… de la nécessité de passer au temps réel
La productivité des utilisateurs finaux a été signalée comme l’impact le plus significatif des attaques de terminaux par 47 % des entreprises. Ce qui signifie que le fardeau de ces menaces croissantes est largement supporté par les employés. Viennent ensuite les temps d’arrêt du système (40 %) et la perte de productivité informatique (39 %).
« Les organisations doivent repenser leurs lignes de défense, propose Kristian Kalsing, chef de produit d’Adaptiva. Les solutions de dernière génération ne fonctionnent fondamentalement pas ! » Les chiffres l’attestent. Et 59% constatent la même difficulté pour les mises à jour de sécurité.