LYON, France–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:

POXEL SA (Euronext : POXEL – FR0012432516), société biopharmaceutique au stade clinique développant des traitements innovants pour les maladies chroniques graves à physiopathologie métabolique, dont la stéatohépatite non alcoolique (NASH) et les maladies métaboliques rares, annonce aujourd’hui sa participation à la 2ème conférence annuelle H.C. Wainwright sur les Maladies Rénales (H.C. Wainwright 2nd Annual Kidney Conference), qui se tiendra virtuellement le mardi 25 juillet 2023.

Thomas Kuhn, Directeur Général et des membres de l’équipe de direction de Poxel, seront disponibles pour des entretiens individuels virtuels le 25 juillet 2023. Une présentation virtuelle de la Société est prévue le même jour à 15h30 heure française (9h30 ET, heure de New York) et sera axée sur le PXL770, un nouvel activateur direct de la protéine kinase activée par l’adénosine monophosphate (AMPK), pour le traitement de la polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD).

À propos de la polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD)

La polykystose rénale autosomique dominante, ou ADPKD, est une maladie rénale chronique principalement causée par des mutations des gènes PKD1 ou PKD2. Cette maladie provoque le développement de petits sacs remplis de liquide, appelés kystes, dans les reins. Le terme « autosomique dominante » (AD) désigne la méthode de transmission de la maladie du parent à l’enfant. Concernant l’ADPKD, ces kystes se développent dans les reins au fil du temps, détruisant progressivement le parenchyme sain et entraînant une augmentation de leur taille et de leur volume, ce qui dégrade la fonction rénale et peut éventuellement entraîner une insuffisance rénale. La plupart des personnes atteintes d’ADPKD souffrent de douleurs, d’hypertension artérielle et finissent par souffrir d’insuffisance rénale à un moment donné de leur vie.

L’ADPKD est la quatrième cause d’insuffisance rénale chronique (IRC), affectant 1 personne sur 400 à 1 000 (environ 140 000 patients aux États-Unis) et est la maladie rénale héréditaire transmise la plus courante. Plus de 50% des patients atteints d’ADPKD finissent par développer une maladie rénale avant 50 ans, nécessitant une dialyse et/ou une transplantation rénale. Un seul médicament, le tolvaptan, est approuvé pour atténuer la progression de la maladie et est associé à des effets indésirables hépatiques graves et à une mauvaise tolérance en raison d’une polyurie intense.

À propos de Poxel

Poxel est une société biopharmaceutique dynamique au stade clinique qui s’appuie sur son expertise afin de développer des traitements innovants contre les maladies métaboliques, dont la stéatohépatite non-alcoolique (NASH) et certaines maladies rares. Pour le traitement de la NASH, le PXL065 (R-pioglitazone stabilisée par substitution au deuterium) a atteint son critère principal d’évaluation dans une étude de phase II (DESTINY-1). Dans les maladies rares, le développement du PXL770, un activateur direct, premier de sa classe, de la protéine kinase activée par l’adénosine monophosphate (AMPK), est centré sur l’adrénoleucodystrophie (ALD) et la polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD). TWYMEEG® (Imeglimine), produit premier de sa classe de médicaments, qui cible le dysfonctionnement mitochondrial est commercialisé pour le traitement du diabète de type 2 au Japon par Sumitomo Pharma et Poxel prévoit de recevoir des redevances et des paiements basés sur les ventes. Sumitomo Pharma est le partenaire stratégique de Poxel pour l’Imeglimine au Japon, en Chine, et dans onze autres pays d’Asie. Poxel est cotée sur Euronext Paris, son siège social est situé à Lyon, en France, et la Société dispose de filiales à Boston aux États-Unis, et Tokyo au Japon.

Pour plus d’informations : www.poxelpharma.com.

Contacts

Relations investisseurs / Médias

Aurélie Bozza

Directrice senior Relations Investisseur et Communication

aurelie.bozza@poxelpharma.com
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