Advens et Cyber Security Management allient leurs forces pour proposer une offre de référence sur le marché belge. Plus qu’un partenariat, une alliance. 

Advens fait son entrée sur le marché belge en scellant une alliance avec Cyber Security Management. Dorénavant, l’entreprise de Braine-L’Alleud opérera sous la bannière CSM-Advens. Et, surtout, prendra le leadership belge en matière de solutions et de services 100% européens.

Advens, société créée à Lille en 2000, forte de plus de 200 collaborateurs, visait l’international. Premier pure player de la cybersécurité, elle s’est solidement imposée sur le marché hexagonal, avec des bureaux à Lille, Paris, Lyon, Bordeaux et bientôt Nantes. L’entreprise réunit toutes les compétences, de la gouvernance à la gestion opérationnelle de la sécurité en passant par le conseil. A son actif, plus de 300 clients (Alstom, Ministère des Armées, Système U, Centres hospitaliers publics, etc.) provenant de différents secteurs tels que les services, l’industrie, la grande distribution ou encore les organismes publics. Et des services qualifiés par l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d‘Information (ANSSI) française.

Via cette alliance, CSM est en mesure de proposer immédiatement une gamme complète de services en plus des technologies qu’elle distribue et installe.

Une alliance, lien plus engageant

«Principalement présent sur le marché français, nous avons pour ambition de construire un acteur européen de premier plan. Notre siège social étant à Lille, cette proximité a fait du marché belge une première étape naturelle pour nous développer à l’international, explique Benjamin Leroux, Marketing Director, Advens. Nous collaborions déjà avec CSM depuis quelques temps par le biais des technologies d’Hexatrust mais nous voulions aller au-delà de cela…»

Benjamin Leroux (Advens) : «Nous, la cybersécurité c’est notre métier, notre seul métier, et non une extension de portefeuille. De plus en plus de comptes sont sensibles à cette différence»

Advens et CSM insistent sur le terme ‘alliance’, réservant les ‘partenariats’ aux accords technologiques. Le lien se veut plus fort, plus engageant. Il est vrai que les deux entreprises se complètent. Bien implantée sur le marché belgo-luxembourgeois, CSM s’est rapidement imposée au départ d’un solide catalogue technologique et de compétences sur le terrain. De là, de beaux succès. Parmi ceux-ci, relevons la Chancellerie de la Première Ministre, mais aussi de grands aéroports du pays…

«Notre force réside dans le fait que nos solutions sont toutes 100% européennes, souligne Peter Braem, CEO, CSM. C’est là un différenciateur majeur pour les institutions et entreprises belges. En clair, la garantie de sauvegarde des données en Europe. En ajoutant les services d’Advens à notre gamme de solutions, nous proposons une approche globale en cybersécurité.»

130 collaborateurs et un SOC. Immédiatement

Aux missions ponctuelles, Advens ajoute une offre de type ‘as-a-service’ qui connait un succès croissant. «Beaucoup d’entreprises ont empilé des solutions, investissant beaucoup en moyens, sans retour sur investissement. Nous leur proposons de passer à une logique de service via un abonnement où nous nous occupons de tout», explique Benjamin Leroux. Les PME, en particulier, y sont sensibles, Ce ‘run’ fera la différence, d’autant que la mutualisation permet de proposer des services hautement professionnels, basés sur des technologies de pointe inaccessibles autrement.

L’alliance CSM Advens peut aujourd’hui démarrer, elle profite directement des 130 collaborateurs du bureau lillois et de son SOC. Pour Advens, c’est évidemment un atout : générer rapidement du business, alors que l’installation d’une filiale aurait pris du temps. Et de se frotter aux Orange, Proximus et autres grands acteurs du marché. «Nous, la cybersécurité c’est notre métier, notre seul métier, et non une extension de portefeuille. De plus en plus de comptes sont sensibles à cette différence», ajoute, confiant, Benjamin Leroux.

L’alliance opèrera sous la double dénomination CSM – Advens. «Notre force, justement, est la somme des deux !», illustre encore Benjamin Leroux.

LinkedOut / Vendée Globe, un projet sportif et social

Remise à l’eau d’Advens, le 60 pieds IMOCA. Mais, cette fois, sous le nom de LinkedOut -‘le réseau de ceux qui n’en ont pas’. Le monocoque -entre les mains du navigateur Thomas Ruyant- lâchera les amarres le 8 novembre prochain pour le Vendée Globe, après quelques courses durant cet été.

LinkedOut ? Aujourd’hui quand on est exclu, sans réseau et avec un parcours difficile, les chances de trouver du travail sont proches de zéro.

Remise à l’eau d’Advens, le 60 pieds IMOCA. Mais, cette fois, sous le nom de LinkedOut -‘le réseau de ceux qui n’en ont pas’.

Or, la précarité n’empêche pas le talent ! LinkedOut est le réseau professionnel de ceux qui n’en n’ont pas -un dispositif porté par l’association Entourage. Les citoyens sont appelés à se mobiliser en partageant massivement les CV de personnes précaires sur leurs propres réseaux sociaux, pour leur donner de la visibilité et générer ainsi des opportunités d’emploi. Parce qu’un partage peut tout changer !

«Nous croyons à l’engagement des entreprises pour le bien commun et à l’impact qu’elles peuvent initier avec leurs collaborateurs pour un monde plus juste et fraternel, explique Alexandre Fayeulle, CEO & Founder, Advens. Plus que quiconque, nous avons besoin des entreprises pour faire la différence dans le monde de demain.»