Les transactions via smartphones et tablettes représentent aujourd’hui 20% des e-paiements du pays. Soit 10% de moins par rapport à la moyenne mondiale (Royaume-Uni : 46,9%; Pays-Bas : 32%). Malgré son retard, la Belgique n’est pas un cas isolé puisque la France et l’Allemagne affichent des ratios respectifs de 23% et 25%…
Bref, il y a tout à faire. C’est ce qui a motivé Adyen, le leader international des technologies de paiement, à venir s’installer à Bruxelles, fort d’un partenariat avec Bancontact/Mister Cash.
«L’industrie des paiements a longtemps reposé sur de veilles technologies, impliquant de nombreux intermédiaires créant de la complexité et peu d’optimisation des couts pour les marchands, souligne Julien Marlier, Country Manager, Adyen Belgium. Notre arrivée en Belgique répond donc à un réel besoin puisque nous sommes la première plateforme multicanale qui aide les marchands à trouver une solution simple, directe et flexible pour tous les canaux : TPE, mobiles et e-commerces.»
Basé à Amsterdam et San Francisco, Adyen (2006) propose aujourd’hui au marché belge sa plateforme de transactions tout-en-un pour les sites marchands belges fonctionnant avec un ou plusieurs canaux : terminal point de vente (TPE), mobiles et e-commerce. Sa solution mondialement reconnue et utilisée notamment par Facebook, Netflix ou encore Dropbox est la seule à connecter directement les entreprises à plus de 250 moyens de paiement locaux et internationaux.
La proposition d’une alternative à la fois adaptée aux opérations internationales et locales s’avère payante puisque Adyen peut se féliciter d’avoir la confiance de quelques 4500 clients au niveau mondial. La société se porte au mieux : elle vient de clôturer une nouvelle série d’investissements avec Iconiq Capital, élevant sa valeur à 2,3 milliards USD.
En Belgique, tout débute avec Bancontact/Mister Cash (20,8 millions de e-transactions et transactions mobiles enregistrées l’année dernière), qui diffusera ses produits.