Brother, Ricoh, Konica Minolta… Plus green que green !
22 avril, Journée de la Terre. Brother, Ricoh, Konica Minolta… Chacun se veut plus green que green. Derrière le défi sociétal, un enjeu économique.
En 2010, Brother devenait partenaire de Cool Earth, l’œuvre de bienfaisance dans le maintien durable de la forêt tropicale et le support des communautés autochtones dans les régions à risques. Via son initiative Eco rewards, un programme de retour et de recyclage de toners et cartouches d’encre, Brother a contribué à la protection de 2,7 millions d’arbres dans la forêt tropicale péruvienne sur 1.173 hectares, ce qui représente une réduction de 2.1 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
L’effort ne s’arrête pas là. Brother s’engage continuellement à améliorer ses installations de fabrication afin de réduire ses émissions de CO2. Le fabricant de systèmes d’impression s’est fixé comme objectif de réduire ses émissions de CO2 de 30% entre le premier semestre de l’année 1990 et l’exercice 2020 dans huit de ses sites au Japon. Côté produits, Brother applique la même attitude éco-responsable. Ses équipements bénéficient des labels écologiques Energy Star, Blue Angel et Nordic Swan. A la clé, faible consommation d’énergie, émission réduite et possibilité d’utiliser du papier recyclé.
Qui est le plus green ? Cette semaine, Ricoh annonçait figurer -pour la troisième année consécutive- parmi les 5% des entreprises les mieux notées par EcoVadis (statut Gold). Pour rappel, EcoVadis évalue des fournisseurs de 110 pays, provenant de 150 secteurs d’activités, sur leurs politiques, initiatives et réalisations dans les domaines de l’environnement, des pratiques de travail, de commerce équitable et de la chaîne d’approvisionnement (21 indicateurs analysés).
La démarche est intéressante. EcoVadis offre des outils collaboratifs en ligne qui permettent aux responsables des achats d’accéder à des fiches d’évaluation claires et dynamiques et de suivre la performance RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) de leurs fournisseurs ainsi que leurs actions d’amélioration continue. A entendre Ricoh, la performance de la durabilité des fournisseurs est devenue un facteur important pour la sélection de ceux-ci. Ricoh, d’ailleurs, se dit de plus en plus interrogé quant à sa politique de durabilité lors des processus de sélection.
De son côté, Konica Minolta s’est vu décerner -pour la deuxième année consécutive- le grand prix du Counter Global Warming Report, le prix du ministère japonais de l’Environnement. Conscient du fait qu’une entreprise ne peut pas relever les défis posés par les questions environnementales à l’échelle mondiale en faisant cavalier seul, le spécialiste des produits d’impression s’emploie activement à fournir des informations aux acteurs extérieurs concernant ses activités liées au développement durable à l’échelle mondiale et ses réalisations dans le domaine de l’environnement, créant ainsi des occasions pour une collaboration.