Dessine-moi un cloud ! Oui, mais lequel ?
Définissez le cloud ! Vous avez des doutes ? Vous hésitez ? Ne vous inquiétez pas, rassure Nutanix. Dans l’entreprise, aussi, les définitions divergent…
Les administrateurs informatiques et les décideurs peuvent-ils s’entendre sur le cloud ? Pour certains, Dropbox est l’exemple type du cloud. Pour d’autres, les centres de données virtualisés sont des clouds privés. Et beaucoup de gens s’interrogent sur les différences entre le cloud et le SaaS…
«Si vous pensez que cette confusion se limite au domaine public, vous vous trompez, prévient Stéphanie Wong, Digital Marketing Specialist, Nutanix. En 2018, au cours d’une enquête mondiale auprès des décideurs et des professionnels de l’infrastructure, on s’est rendu compte que chaque groupe avait des définitions de travail différentes pour le cloud…»
Divergence d’opinions
Ces différences sont devenues évidentes lorsqu’il a été demandé aux répondants de décrire leurs environnements d’infrastructure. 52% ont dit qu’ils utilisaient un cloud privé, 37% ont dit qu’ils utilisaient un cloud hybride et 11% ont dit qu’ils utilisaient une infrastructure traditionnelle sur site.
«Mais lorsque nous avons ventilé les résultats par rôle, il y avait de grandes divergences d’opinion, observe Stéphanie Wong. Seuls 46% des décideurs informatiques estimaient disposer d’un cloud privé, contre 58% des administrateurs d’infrastructure. Et lorsque nous avons analysé les résultats plus en détail, nous avons découvert que 45% des décideurs informatiques pensaient utiliser un cloud hybride, contre 29% des administrateurs d’infrastructure.»
Nutanix a ensuite examiné de plus près les statistiques du cloud privé. Le terme cloud privé implique des capacités très spécifiques. Mais lorsqu’il a été demandé aux répondants s’ils disposaient de ces capacités, seuls 23% à 31% ont déclaré qu’ils étaient proches ou présents, laissant un écart important entre la demande et la réalité.
«Intrigués par ces découvertes, nous voulions savoir si chaque personne avait une vision exagérée de son propre environnement. Les résultats étaient globalement similaires : 23 à 31% des personnes interrogées sur l’infrastructure informatique estimaient que leur environnement actuel présentait les caractéristiques d’un cloud privé, contre 18 à 21% des décideurs informatiques.»
Collaboration interministérielle
Bref, il apparait clairement que les deux camps évaluent mal leurs propres capacités. «Pour résoudre ce problème, conseille Stéphanie Wong, nous recommandons que les décideurs et les administrateurs soient informés des caractéristiques du cloud privé. Nous suggérons également que les deux départements travaillent ensemble pour améliorer l’efficacité de leurs opérations.»
Deuxièmement, il ressort clairement de l’étude que les décideurs informatiques ne savent pas ce que leur infrastructure peut ou ne peut pas faire. «Encore une fois, nous recommandons aux décideurs de s’associer aux administrateurs informatiques afin de mieux comprendre leur infrastructure, propose Stéphanie Wong. Il est extrêmement important que les deux parties comprennent ce qu’elles ont mis en place afin de pouvoir prendre des décisions en fonction d’informations précises.»
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