Et si les entreprises louaient leur mobilier au lieu de l’acheter ? C’est le pari d’Enky, qui, outre des abonnements flexibles et éco-responsables pour équiper les espaces de travail, propose désormais à l’épargnant lambda d’investir dans l’achat de meubles de qualité avec un intérêt de 6 à 8% !
« Si Lavoisier avait vécu de nos jours, il aurait déclaré : Rien ne se perd, rien ne se crée, tout va se louer ! » avance d’emblée Aïssa Laroussi, co-founder, CEO, Enky. « C’est le pari du Fourniture-as-a-Service, encouragé par la RSE et la prise de conscience collective face à la raréfaction des ressources font en sorte que les solutions de circularité aussi agiles que rentables aient la cote. »
Afin d’asseoir sa forte croissance en Belgique et son essor à l’étranger, la start-up Enky, pionnière en solutions d’ameublement professionnel par abonnement, propose désormais à l’épargnant lambda d’investir dans l’achat de meubles de qualité avec un intérêt de 6 à 8% !
Le capital est non seulement garanti, mais il participe aussi et surtout à l’avènement d’un nouveau modèle qui permet aux entreprises d’immobiliser un minimum de ‘cashflow’ dans l’aménagement de leurs infrastructures, tout en promouvant une solution durable dans une des industries les plus polluantes.
Le Fourniture-as-a-Service après la débandade du homeworking
Après l’extraordinaire succès de la fintech Edebex, Aïssa Laroussi, entrepreneur multirécidiviste, a décidé d’exploiter une nouvelle niche BtoB au sortir de la pandémie : proposer aux entreprises de se meubler à travers un abonnement mensuel leur permettant, à moindre coût, d’avoir accès à des pièces aussi esthétiques et qualitatives, qu’ergonomiques, garanties sur la durée et manufacturées en Europe dans le plus grand respect de l’environnement.
Face à la débandade du ‘homeworking’ et à la nécessité de réenchanter leurs forces vives, les employeurs ont rapidement compris l’intérêt de cette offre qui rafraichit les espaces de travail, sans pour autant grever leurs liquidités.
De la PME à la multinationale, en passant par le monde de l’enseignement, des professionnels de l’HORECA ou encore des promoteurs immobiliers, ce sont ainsi plus de 5 millions EUR de meubles qui ont déjà été installés par une équipe de 10 personnes, partout en Belgique, en Suisse et en Espagne, mais aussi et surtout en France où une législation particulièrement avantageuse se met en place.
Ouvrir la plate-forme. Tout le monde peut investir
« L’engouement est notoire mais, dans notre modèle, il faut d’abord acheter la marchandise pour pouvoir la mettre à disposition de nos clients et, afin de faire face à notre montée en puissance, nous avons décidé d’ouvrir notre plateforme d’investisseurs professionnels au grand public, explique Aïssa Laroussi. Tout se passe simplement en ligne, dans le plus grand respect de la législation, avec un ticket d’entrée de 500 EUR et la garantie de retrouver son capital dans le pire des cas. »
Sans publicité, la phase test de ces deux derniers mois fut plutôt prometteuse puisque 300 personnes ont déjà investi et réinvesti 200.000 EUR dans des projets existants. « Tout est transparent ! Nos partenaires savent où et dans quoi ils investissent concrètement, avec un retour allant de 6 à 8% en fonction de la durée de l’abonnement concerné. »
Les premiers ambassadeurs sont les designers et architectes d’intérieurs qui ont compris que le Vieux Continent produit, chaque année, 11 millions de tonnes de déchets de meubles dont seulement 3% sont recyclés, conclut Shari Dewannemacker, Director Sales & Marketing, Enky. « Avec notre offre, la trentaine de marques que nous représentons à ce jour et grâce à nos investisseurs, sera d’autant plus en capacité de proposer aux clients une solution originale, durable, variée, flexible et financièrement avantageuse. »