Les modèles de diffusion changent, pas le besoin. On premise ou en mode SaaS, peu importe. Nos entreprises ont besoin d’une solution de supervision.

Centreon disponible sous forme d’une solution SaaS de supervision IT ! Cela fait longtemps que le spécialiste européen de la supervision a imposé sa plate-forme open-source ou commerciale “on-premise” pour superviser aussi bien le cloud que le non-cloud,. Depuis le début de cette année, un nouveau choix s’offre aux clients : la souscription à Centreon Cloud, la même offre de supervision mais disponible en SaaS.

La transition vers l’informatique nativement cloud a été progressive, on le sait. Aujourd’hui, inventer une nouvelle expérience utilisateur pour les employés ou pour les clients se fait désormais systématiquement en déployant ces technologies incroyablement pertinentes, qu’elles soient maintenues par les DevOps des clients ou qu’elles résultent d’un simple abonnement à une offre SaaS.

SaaS, évolution logique pour le cloud natif

Cette évolution s’inscrit dans le continuum de Centreon. « Cela fait d’ailleurs partie de notre ADN open source : notre communauté d’utilisateurs est impliquée dans la définition des évolutions produit, explique Marc-Antoine Hostier, Chief Operating Officer, Centreon. 

Dans le passé, la plateforme de supervision devait nécessairement être déployée dans le même environnement que l’infrastructure supervisée -le fameux on-premise. Plus aujourd’hui. Maintenant que les organisations de toutes tailles migrent la majeure partie de leur portefeuille applicatif vers le cloud, il devient tout naturel de migrer la plateforme de supervision elle-même, en choisissant une solution SaaS. Non seulement Centreon Cloud supervise 100% du cloud, mais aussi 100% des infrastructures traditionnelles ! »

Dans un environnement hybride, c’est un solide avantage. Centreon s’occupe de tout. Concrètement : la sécurisation, la maintenance journalière, les sauvegardes, les montées de version… et l’intégration à l’environnement d’exploitation.

Marc-Antoine Hostier : « On s’y connecte depuis son navigateur ou une app mobile. Très facilement, on peut désormais gérer les capacités, déterminer la disponibilité, gérer les accords de niveau de service et contribuer à la sécurité de l’entreprise ! Il s’agit d’une supervision complète de l’IT, depuis le cloud jusqu’aux équipements en bordure de réseau -le edge. »

100 % des infrastructures, où qu’elles soient

Avec Centreon Cloud, on peut commencer à superviser en quelques minutes ! L’éditeur envoie les identifiants de connexion, le client commence par choisir quelles technologies il veut superviser. Quelques 700 connecteurs et d’intégrations sont disponibles…

Pas d’exclusion, pas de restriction ! Centreon Cloud est la seule plateforme qui permet très facilement de superviser 100% des infrastructures, qu’elles soient dans le cloud, dans un datacenter ou éparpillée sur un vaste réseau. Il peut s’agir  de technologies dernier cri ou d’équipements plus anciens, du legacy actif depuis plusieurs décennies comme de l’AS/400 par exemple !

Cette nouvelle offre ne remplace pas Centreon On-Premise qui reste et restera toujours disponible. Pour l’éditeur français, les deux modes de déploiement ont leur légitimité : choisir l’un ou l’autre n’est qu’une question de contexte. En effet, certaines organisations n’ont d’autres choix que de déployer leur supervision on-premise, souvent au sein de réseaux très sécurisés. D’autres choisiront Centreon Cloud parce qu’ils estiment que l’éditeur est le plus à même d’héberger et maintenir efficacement la solution alors que leur personnel IT doit se concentrer sur son cœur de métier. D’autres encore trouveront l’usage pour les deux modes de déploiement. Centreon On-Premise pour superviser les équipements stratégiques depuis le siège, Centreon Cloud pour les filiales à l’étranger qui ont peu de personnels qualifiés.

Centreon Cloud sur AWS

Le lancement de Centreon Cloud est étroitement lié au partenariat stratégique signé avec Amazon Web Services qui héberge la nouvelle solution. Après une phase bêta réussie en collaboration avec des clients sélectionnés, Centreon Cloud est commercialisé dans certaines régions sous forme de Controlled Availability depuis le premier semestre de 2022 L’offre SaaS sera disponible sur tous les marchés dans le courant de l’année.

Si les origines de la supervision IT se confondent avec celles de l’informatique, son utilisation ne s’est réellement développée que depuis vingt ans. Longtemps cantonnée à la supervision technique et aux équipes production et infrastructures, elle profite de l’inévitable corrélation entre le business et l’IT. Son périmètre a été sensiblement étendu ; elle est tant applicative que métier.

Le Benelux au départ du Luxembourg

« La supervision est devenue à la fois un outil essentiel pour garantir et développer la performance de l’IT mais aussi un formidable moyen de communication pour développer un langage commun avec les clients internes, rapprocher la stratégie IT des enjeux des métiers et renforcer la légitimité de la direction IT au sein de l’entreprise », relève encore Marc-Antoine Hostier. Les chiffres confirment la stratégie. L’entreprise connaît une croissance annuelle moyenne de 35% sur les dernières années. Relevons une année 2021 à + 56 %, soit cinq fois plus que la marché. Le marché belge est très dynamique et représente une belle opportunité : une taille de 259 millions USD en 2025 et une croissance de 10% l’année dernière. L’éditeur a ouvert un bureau à Luxembourg pour gérer la zone Benelux.   

La demande en supervision ne peut que croître, analyse encore Marc-Antoine Hostier. « L’IT ne dort jamais. Les applications critiques doivent être disponibles en permanence et fonctionner de manière optimale, partout dans le monde, sur le cloud, dans les datacenters ou sur les objets connectés. Les entreprises modernes gardent en permanence un œil vigilant sur leur système d’information, afin de garantir la disponibilité des services et leur performance. Les arrêts ou les pannes réseau en cascade peuvent coûter très cher aux entreprises et, pire, faire fuir les clients. Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent pas se permettre de ralentir ni de s’effondrer. Elles doivent être always-on, les opérations IT aussi. »