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Low-code, Power Platform… et plus
Dans un monde où tout va de plus en plus vite, sans pour autant disposer de plus de ressources, Fujitsu se distingue par son approche liant Low-code et Power Platform.
Low-code, Power Platform… Avec une abondance de complexité et une pénurie de compétences à surmonter, les approches low-code et no-code peuvent souvent fournir la réponse idéale à un développement rapide. Les plates-formes low-code ou no-code telles que Power Platform transforment le développement d’applications et de logiciels en attirant de nouveaux utilisateurs avec peu de connaissances de base et sans formation approfondie.
Pour Fujitsu, l’évolution est inéluctable. Au cours des cinq prochaines années, plus de 500 millions de nouvelles applications seront créées. Et au cours des trois prochaines années, plus de 65 % de toutes les applications seront construites sur du low-code.
Manque de temps, manque de ressources
Alors que la demande de nouvelles applications augmente de jour en jour, le monde de la technologie fait face à une pénurie de talents. Plus de 85 % des organisations ont du mal à trouver des talents techniques ! Egalement parce que la création de logiciels et de systèmes coûte cher. « On manque de temps et de ressources, constate Pieter Wuytens, Head of Secure Cloud & Workplace, Fujitsu Belgium. Lancer un projet à partir de zéro réclame des moyens importants parfois sur des activités de développement à faible valeur ajoutée. La pandémie n’a fait qu’accroître le besoin de solutions plus rapides, plus simples et facilement disponibles. »
Qui plus est, la création de logiciels en interne entraîne une foule de considérations de sécurité et de conformité qui nécessitent des investissements initiaux importants pour garantir que les applications fonctionnent de manière transparente et ne rencontrent aucun problème réglementaire, ni piratage, ni menace de violation de données.
Haute productivité, faible code
Ce dont les entreprises ont besoin aujourd’hui, pense-t-on chez Fujitsu, c’est d’une plate-forme de développement à haute productivité et à faible code qui les aide à s’adapter et à répondre aux évolutions rapides en temps réel. « Plutôt que d’essayer de transformer tout le monde en développeur ou d’investir massivement dans la création de logiciels en interne, l’utilisation d’un développement low-code peut aider à relever ces défis et à combler le déficit de compétences qui dépasse les capacités actuelles de l’entreprise. Tout en augmentant le potentiel de développement, le low-code n’est pas une solution autosuffisante, nuance Pieter Wuytens. »
Qui dit low-code dit possibilité de rapidement créer et fournir des applications métier, sans devoir s’appuyer sur toute une série de programmations manuelles ou de formations des utilisateurs. Ceci permet non seulement de gagner du temps et de rendre les entreprises plus efficaces et productives, mais également de se concentrer sur les applications qui nécessitent le plus d’attention, comme l’expérience client et l’automatisation.
Reprendre le contrôle
En termes simples, le low-code est un moyen intelligent de reprendre le contrôle. Plus précisément, il s’agit d’une méthode de développement de logiciels et d’applications qui permet à vos employés de créer des applications métier de qualité professionnelle à l’aide de la fonctionnalité glisser-déplacer et d’instructions visuelles, avec très peu ou pas d’expérience ni de connaissances en codage. Avec son partenaire Outsystems, Fujitsu s’en est fait une spécialité. Selon le cabinet Gartner, la plate-forme OutSystems rend possible le développement d’applicatifs critiques 4 fois plus rapide et la maintenance évolutive 8 fois plus rapide.
L’offre de Fujitsu permet un développement rapide d’applications, une collaboration facilitée, un prototypage et des modifications rapides, ainsi que le contrôle des coûts, l’augmentation de la productivité et des revenus récurrents. Selon Microsoft, 82 % des utilisateurs utilisant peu ou pas de code conviennent que la technologie permet aux utilisateurs de logiciels d’améliorer leurs connaissances en développement et leurs compétences techniques. En outre, il a été démontré que l’utilisation de plates-formes ou d’applications sans code ou à faible code a eu un impact positif de 83 % sur la satisfaction au travail et la charge de travail des utilisateurs, et un impact positif de 80 % sur le moral des utilisateurs.
Power Platform, vite et mieux
Power Platform, la plateforme unifiée d’outils low-code qui couvre Microsoft 365, Azure, Dynamics 365 et des applications autonomes, concrétise parfaitement cette évolution. L’idée ? Permettre aux développeurs citoyens qui ont des capacités de codage limitées, d’innover et de créer de nouvelles solutions plus rapidement en raison de la familiarité avec les outils d’expérience utilisateur tels que PowerPoint.
C’est également une suite d’outils puissants pour les développeurs professionnels qui intègre une plate-forme de développement d’applications rapide conçue à partir de zéro pour s’intégrer étroitement aux capacités de développement professionnel d’Azure.
Un accompagnement tout au long du parcours
Avec son offre PPAAS (Power Platform-as-a-Service), Fujitsu vise à surmonter ces préoccupations avec une plate-forme gérée construite en co-création avec le client, rassure Pieter Wuytens. De fait, Fujitsu a une approche standardisée pour la mise en œuvre, la transition et l’assistance aux clients.
« Cette approche utilise directement notre expertise commerciale spécifique à l’industrie, affinée grâce aux expériences client, ainsi que notre expertise technique dans Microsoft Power Platform, ce qui signifie que nous sommes positionnés pour tirer parti de cette expertise au bénéfice de nos clients. »
A entendre Pieter Wuytens, il s’agit d’aller plus loin que le simple support des processus métiers ; viser le cœur des processus eux-mêmes afin d’explorer de nouvelles possibilités et d’engager de véritables transformations de fond. Inspirer et, ensemble, découvrir. « La feuille de route suivra. Puis l’analyse de cas. Et, naturellement, l’évaluation de la valeur commerciale. »