Productivité : entre initiatives des collaborateurs et confiance des dirigeants
Les employés disposant d’un accès plus étendu aux applications de leur choix et nécessaires à leur travail ont 8 fois plus de chances d’enregistrer une hausse de leur productivité, et passent 14% moins de temps sur des processus manuels.
La productivité n’est plus liée au taylorisme. Selon VMware, les responsables informatiques sont pris conscience de l’impact des initiatives des employés en matière de technologies et d’applications numériques. Le message est clair : laissez les entre les mains des employés !
Ces employés autonomes ont davantage tendance à affirmer que les applications jouent un rôle très important dans l’accélération de leurs prises de décisions contrairement aux salariés traditionnels (65% au lieu de 43%). Cette autonomie a une influence directe sur les performances des entreprises : la majorité des CIO de la zone EMEA (89%) estiment qu’il est possible d’augmenter les revenus de 5% sur 3 ans en offrant davantage de liberté aux salariés sur le plan professionnel.
Cette approche permet également d’accroître la collaboration au sein du personnel : +12% par rapport à l’approche traditionnelle. Ces derniers vont même jusqu’à utiliser leurs propres outils pour un usage professionnel. La preuve, en Europe, une application professionnelle sur cinq a été introduite dans l’entreprise par les employés eux-mêmes, ce qui témoigne de leur rôle central dans la révolution à laquelle nous assistons.
«La migration de technologies puissantes entre les mains des collaborateurs a été à l’origine d’une profonde évolution du monde professionnel. En effet, les applications ont pris une place critique dans le quotidien des employés, et sont devenues essentielles pour leur permettre de travailler intelligemment», commente VMware.
In fine, pour que cette transformation ait un impact réel, il faut créer une culture issue d’un mélange d’initiatives de la part des collaborateurs et de confiance de la part de leurs dirigeants. Ainsi, les salariés les plus autonomes ont deux fois plus tendance à considérer leurs employeurs comme des leaders en matière de transformations numériques (4 % vs. 21%), et e sont près de quatre fois plus susceptibles d’affirmer que leur entreprise est devenue un lieu de travail plus agréable (55% contre 14%).