La psychographie, pour un marketing disruptif
Après les méthodes de qualification socio-économiques et sociodémographiques, la psychographie permet de voir plus grand et plus juste… en toute légalité.
Est-il facile de vendre des biens à un homme abstrait de 25 à 35 ans avec un revenu moyen ? La tâche devient réalisable si nous savons qu’il est un innovateur actif, se considère comme le leader d’un groupe social et cherche à améliorer la situation dans la société. Cette information supplémentaire importante est donnée par la psychographie.
«Jusqu’ici, par les méthodes de qualification socio-économiques et sociodémographiques, nous pouvions savoir qui sont nos clients. A présent, il est possible de savoir ce qui les amène à s’intéresser à notre marque, à nos produits et à nos services, explique William Vande Wiele, CEO, Consultant-BI. Et c’est capital ! A travers la psychographie, nous pouvons savoir qui sont ces personnes, ce qu’elles pensent et ressentent. Bref, nous sommes en mesure de comprendre nos clients. Enfin !»
Requalifier un produit ou service à travers des attributs psychographiques
La psychographie dépasse les barrières marketing qui ont existé jusqu’ici. Et elle est sans limite, permettant un marketing disruptif. Comme son nom l’indique, la psychographie est un critère de segmentation basé sur les différentes façons dont les gens pensent et ressentent le monde qui les entoure. En d’autres termes, la psychographie s’intéresse aux styles de vies, aux croyances, aux valeurs et aux personnalités des consommateurs. «Plus vous comprendrez une population cible, mieux vous serez en mesure de commercialiser vos produits ou services à ce groupe d’individus, note William Vande Wiele. Aujourd’hui, Consultant-BI propose, en exclusivité, une approche renouvelée de la qualification des bases de données, sur base des profils de personnalité.»
Disposer de données, voire de beaucoup de données sur les clients et prospects ne sert à rien si celles-ci ne sont pas comprises et utilisées. C’est le paradoxe du big data. «La finalité c’est de comprendre pourquoi nos clients sont intéressés par notre marque… et non pas qui ils sont. Le cœur de nos services est de déchiffrer les caractéristiques qualitatives de vos clients, celles qui sont les plus difficiles à cerner et qualifier, enchaîne William Vande Wiele. Car bien que vos consommateurs évoluent constamment, ils gardent une certaine personnalité… et ne changent pas du tout au tout du jour au lendemain ! La puissance de notre système d’analyse permet d’inférer des attributs au départ des informations les plus diverses, exprimées ou révélées par un prospect ou client à divers moments.»
Le processus ne met pas à mal les règles du GDPR
Jusqu’où ? L’approche est sans limite. Une donnée aussi anodine que qu’un code postal apporte déjà une dimension exploitable. 1000, par exemple, est traduit en ‘urbain’, alors que 1435 est traduit en ‘villageois’. Idem pour un état civil : ‘célibataire’ peut être traduit en ‘isolé’, ‘autonome’, ‘prévoyant’…
Juridiquement, la méthode est apparentée à un traitement de données. De même, Consultant-BI ne récolte aucune information. Quant au processus, il ne met pas à mal les règles du GDPR. Sur le plan opérationnel, enfin, Consultant-BI ne traite que des données non sensibles. Et met en oeuvre ses outils de data marketing, business intelligence et deep learning au coeur du fonctionnement des profils de personnalité.