En déployant pour la première fois des applications critiques dans le cloud, Atos a permis d’améliorer le suivi et l’analyse des données de Rio 2016 en temps réel.
Du tir à l’arc à la lutte en passant par le rugby… Diffuser les résultats de chaque épreuve des Jeux olympiques de Rio 2016, dans le monde entier et en moins d’une demi-seconde, est un exploit technique, fruit d’années de travail. Pour Atos, partenaire informatique mondial des J.O. (dont cette édition était la huitième d’affilée), c’est un exploit de plus.
«Rio 2016 nous a servi de référence et d’incubateur d’innovations pour les solutions numériques essentielles que nous apportons, commente Patrick Adiba, vice-président exécutif et directeur commercial du groupe Atos, et directeur général pour les Jeux olympiques et paralympiques. Nous appliquons directement l’expérience acquise dans le domaine informatique durant les Jeux olympiques pour aider les entreprises à se réinventer et à profiter pleinement des opportunités du numérique.»
Cet été, en effet, Atos a eu recours -pour la première fois- au cloud pour héberger le portail des volontaires ainsi que les systèmes d’accréditation et de main-d’œuvre (plus de 300.000 accréditations pour toute la famille olympique), réduisant les coûts et améliorant l’efficacité et la flexibilité du suivi et de l’analyse des données gérées en temps réel. Cet été, aussi, il a fallu tenir compte des nouveaux sports -dont le golf qui, à lui seul, a généré plus de données de résultats que tous les autres sports réunis ! Autre défi, le nombre de lieux de compétition. Soit 37 pour lesquels Atos a fourni une infrastructure informatique complète, permettant la tenue des épreuves en temps et en heure.
Au total, plus de 100 millions de messages ont été envoyés en temps réel aux diffuseurs du monde entier pour partager les résultats et données de 42 sports olympiques et 306 compétitions (+ 40% par rapport à Londres).
Atos signale aussi un doublement du nombre d’événements de sécurité informatique par seconde à gérer en temps réel : 400 contre 200 à Londres !
